Libération : 2 articles concernant le MoDem, dont 1 sur Montpellier
Libération : 2 articles concernant le MoDem
(merci à Gérard qui a signalé ces articles à mon attention)
A Montpellier, l’irrésistible attraction du PS
(merci à Gérard qui a signalé ces articles à mon attention)
A Montpellier, l’irrésistible attraction du PS
De notre correspondante à Montpellier CAROLE RAP vendredi 18 janvier 2008
A Montpellier aussi, les militants du Modem sont divisés. Lundi soir, leur candidat aux municipales, Marc Dufour, a laissé entendre qu’il négociait un accord avant le premier tour avec la maire sortante (PS), Hélène Mandroux. Cette dernière a confirmé être «en discussion» et rien n’est encore signé, mais les formules employées par le favori de François Bayrou laissent peu de place au doute.
«Il nous faut des élus, pour qu’en 2012, François Bayrou dispose de l’appareil politique indispensable pour rivaliser avec l’UMP et le PS. Dans une mairie, les problèmes de nos concitoyens ne sont pas des problèmes de gauche ou de droite», a-t-il dit aux 50 militants venus écouter la présentation de son programme. Crédité de 6 % des voix au premier tour des municipales dans un sondage paru dans Midi-Libre en décembre, cet ancien PDG de feu Air Littoral - la compagnie aérienne a été liquidée en 2004 - sait jongler avec les chiffres. Lorsqu’un militant de Cap 21, parti écologiste qui a rejoint le Modem en 2007, ose lui dire que «le Modem doit jouer sa carte au premier tour», il s’énerve : «Je n’ai été investi que le 19 décembre. Dans ces conditions, tu les mets les 200 000 euros pour la campagne ?» Un accord de premier tour lui ferait faire des économies, même si le candidat ne s’est pas ruiné jusqu’à présent, vu l’absence de campagne du Modem à Montpellier.
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«Il nous faut des élus, pour qu’en 2012, François Bayrou dispose de l’appareil politique indispensable pour rivaliser avec l’UMP et le PS. Dans une mairie, les problèmes de nos concitoyens ne sont pas des problèmes de gauche ou de droite», a-t-il dit aux 50 militants venus écouter la présentation de son programme. Crédité de 6 % des voix au premier tour des municipales dans un sondage paru dans Midi-Libre en décembre, cet ancien PDG de feu Air Littoral - la compagnie aérienne a été liquidée en 2004 - sait jongler avec les chiffres. Lorsqu’un militant de Cap 21, parti écologiste qui a rejoint le Modem en 2007, ose lui dire que «le Modem doit jouer sa carte au premier tour», il s’énerve : «Je n’ai été investi que le 19 décembre. Dans ces conditions, tu les mets les 200 000 euros pour la campagne ?» Un accord de premier tour lui ferait faire des économies, même si le candidat ne s’est pas ruiné jusqu’à présent, vu l’absence de campagne du Modem à Montpellier.
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Le Modem, une «ligne claire» à de très grosses exceptions près
Municipales. Tous les cas se profilent : listes autonomes, alliances à droite, à gauche…
CHRISTOPHE FORCARI vendredi 18 janvier 2008
CHRISTOPHE FORCARI vendredi 18 janvier 2008
Pour les municipales, la ligne du Modem, le mouvement de François Bayrou, «est claire comme de l’eau de roche». C’est ce que se plaisent à répéter en chœur les inconditionnels du leader centriste, bienheureux candidat à la présidence de la République avec près de 19 % des suffrages. «Dans plus de 70 % des villes de plus de 30 000 habitants, le Modem présentera des listes autonomes comme l’a voulu François Bayrou lors de l’université d’été du Modem à Seignosse [Landes, ndlr] au mois d’août», précise Eric Azière, chargé des élections et des fédérations auprès de François Bayrou.
Trois tendances. Sauf que de grosses exceptions existent dans des villes de grande importance. Et que les troupes de Bayrou ne balancent pas toutes du même côté. «Les nouveaux adhérents du Modem, qui jusque-là n’avaient jamais milité, tiennent absolument à la ligne d’autonomie. Les anciens de l’UDF penchent naturellement pour des alliances à droite et les militants passés par le PS plaident pour un soutien sans conteste aux candidats de gauche», explique un des responsables nationaux.
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Trois tendances. Sauf que de grosses exceptions existent dans des villes de grande importance. Et que les troupes de Bayrou ne balancent pas toutes du même côté. «Les nouveaux adhérents du Modem, qui jusque-là n’avaient jamais milité, tiennent absolument à la ligne d’autonomie. Les anciens de l’UDF penchent naturellement pour des alliances à droite et les militants passés par le PS plaident pour un soutien sans conteste aux candidats de gauche», explique un des responsables nationaux.
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