Vaccinations (suite) : Hépatite B … on ne vous dit pas tout !
Vaccinations (suite) : Hépatite B … on ne vous dit pas tout !
Un nouveaux spot publicitaire est diffusé concernant le Gardasil et j’ai appris par la fille de mon amie chez qui j’étais ce week-end, que comme pour l’hépatite B, la propagande pour cette vaccination a lieu dans les lycées, et probablement les collèges, puisque la pub parle de faire cette vaccination à partir de 14 ans, court-circuitant là aussi les parents !
Concernant la précédente vaccination de masse, arrêtée à cause des (trop) nombreux accidents post-vaccinatoires et de procès toujours en-cours, celle-ci est malheureusement toujours d’actualité et est souvent effectuée sur de très jeunes enfants en même temps que d’autres vaccins.
Là aussi je vous conseille de lire ce qui suit concernant cette vaccination avant de laisser vacciner votre enfant soi-disant pour le protéger ... on a menti sur les chiffres des personnes contaminées prétendant leur nombre à 100.000 par an alors qu'il n'y avait que 8.000 malades sur le territoire, menti sur l'inocuité du vaccin, des milliers de personnes sont atteintes de pathologies lourdes et invalidantes, menti sur le mode de contamination pour effrayer (le virus de l'hépatite B ne se transmet pas plus par la salive que ceux de l'hépatite C ou du Sida) ... mais les labos ont gagné énormément d'argent avec la complicité des politiques.
D’abord l’article sur Le site personnel de Martin Winckler
Vaccin contre l’hépatite B : une sombre histoire
Par Lucienne Foucras article mis en ligne le 26 mars 2005
Lucienne Foucras est l’auteur de Le Dossier Noir du Vaccin contre l’Hépatite B, mensonge d’Etat ? (éditions du Rocher, 2004. Elle s’est penchée sur le problème de ce vaccin pour des raisons personnelles, qu’elle nous raconte ici. Je la remercie de sa contribution, édifiante et très inquiétante. MW
La vaccination massive contre l’hépatite B dans les années 90 a fait des ravages dans la population. Elle n’y a pas déclenché que des scléroses en plaques comme on l’entend dire de tous côtés, mais toutes sortes de graves maladies, parfois mortelles, au minimum handicapantes, qu’elles soient hématologiques, rhumatismales et/ou auto-immunes, et à tous les âges.
Or elle est toujours programmée pour les bébés et pour les adolescents. Hélas, la majorité de nos concitoyens est désinformée, ignore que des enfants ont été gravement atteints et n’a pas encore mesuré combien notre santé est devenue une marchandise.
Auteure du "Dossier Noir du Vaccin contre l’Hépatite B", j’ai perdu mon mari en 1999. Il avait été vacciné en 1996 sans autre raison que sa récente situation de retraité. On vaccinait alors à tout va, et les retraités étaient ciblés comme population à risque : ils voyageaient. En fait de voyage, ce fut pour lui le dernier, et sans retour.
Pire que la mort fut le calvaire de plus de deux ans et demi qui le conduisit progressivement et implacablement à une paralysie totale. Il était atteint de trois atteintes neuromusculaires simultanées dont la plus grave était une sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot, maladie relativement rare à l’époque mais dont l’incidence a triplé depuis 1996. Les médecins eurent alors des diagnostics hésitants, des explications embarrassées et contradictoires.
Ils parlèrent d’une "maladie neurologique complexe", n’osèrent parler du vaccin que confidentiellement, et mirent en avant "hasard" et "simple coïncidence". Révoltée par tant de souffrance, d’indifférence et d’irresponsabilité, j’ai décidé , après la mort de mon mari d’enquêter moi-même et de témoigner. Je savais d’avance que toutes les portes me seraient fermées, mais j’avais un atout : ma propre plainte au pénal qui me donnait accès au dossier d’instruction.
Contrairement aux magistrats, aux experts et aux avocats, je n’étais pas liée par le secret de l’instruction. Donc je parlerais. J’avais même le devoir de le faire. Contre l’incrédulité dominante, car ce que je découvrais était en effet incroyable, j’ai travaillé le dossier, recueilli de multiples témoignages, comparé des destins absolument similaires à travers la France, réuni une documentation, et écrit un témoignage dont, j’espère, chacun reconnaîtra le sérieux.
En tout cas, depuis sa sortie en librairie, il n’a reçu aucun démenti de qui que ce soit, mais plutôt de nombreux encouragements. J’ajoute que la justice dispose d’une expertise qui confirme absolument mes doutes, mais le lecteur pourra constater que cela ne suffit pas nécessairement en face de la puissance des laboratoires.
Un historique de la vaccination de masse conte l’hépatite B par une de ses victimes
Vaccination de masse contre l'hépatite B !
21 avril 1994 : la France entre en guerre.
Sur Vaccin over-blog article du jeudi 25 Mai 2006
Lien entre le vaccin de l'hépatite B et les scléroses en plaques
Vaccin Hépatithe B - 26 octobre 1999
Un an après la décision de Bernard Kouchner de suspendre les campagnes de vaccination contre l’hépatite B dans les collèges, le dossier piétine. À la faveur du changement de titulaire, le secrétariat d’État à la Santé semble avoir renvoyé les dossiers aux calendes grecques, alors que le nombre de victimes recensées continue d’augmenter …. Lire la suite >>
Sur le parcours du combattant des victimes du vaccin de l'hépatite B
Docteur Marie-Hélène Groussac le 31 août 2007
Dans les suites de la vaccination contre l’hépatite B, outre le fait que peu, au final, parmi les effets secondaires suffisamment graves pour handicaper les patients ou pour entraîner la mort, sont officiellement reconnus, les cas entrant dans le cadre désigné connaissent un véritable parcours du combattant. La difficulté des procédures, le stress des expertises, les difficultés administratives et socio-professionnelles ne favorisent pas une récupération physique d’une sclérose en plaques, par exemple, quand ce ne sont pas en eux-mêmes des éléments d’aggravation. Il n’est pas normal qu’il faille 17 ans pour qu’une infirmière, atteinte de sclérose en plaques, soit enfin reconnue comme victime de cette vaccination professionnelle. J’ai vu des cas de maladies, contractées après une vaccination dans le cadre professionnel, remplissant les conditions administratives légales, rejetés en tant que suite d’une vaccination légale. Mais le plus gros scandale est d’avoir fait croire que la vaccination était obligatoire chez les adolescents et d’avoir révélé ensuite que l’Etat n’assumait pas la responsabilité des complications. Rejeter la responsabilité présentait un second avantage qui était de dissuader les victimes de se battre car alors, il fallait se battre contre les laboratoires pharmaceutiques vendant ces vaccins. Que pèse une victime désargentée, malade face à ces monstres ? Pas grand chose… une complicité implicite suintait, dès le début, entre ces trusts et l’Etat. Mais cette complicité ne peut-elle pas être mise en exergue et donc ne peut-elle pas démontrer la culpabilité et la responsabilité de l’Etat ?
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samedi 15 décembre 2007 par Jean Dornac
« Hépatite B : deux laboratoires convoqués par la justice », c’est le titre d’un article du Parisien daté du mercredi 12 décembre 2007. Cet article est classé dans les « Faits divers », mais pour toutes les victimes du vaccin contre l’hépatite B, il ne s’agit pas vraiment d’un simple fait divers ; c’est franchement un « fait majeur » ! Quelque chose bougerait-il au royaume du dogme absolu de la vaccination ?…
L’article de François Vignolle et Marc Payet, commence ainsi :
« Entre 1994 et 1998, quelque 21 millions de Français ont été vaccinés contre l’hépatite B. Mille trois cents patients ont développé, depuis, des troubles neurologiques. On se dirige vers la mise en examen des deux laboratoires qui ont élaboré le vaccin. »
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ASSOCIATIONS d’aide aux victimes de cette vaccination
- REVAHB REseau VAccin Hépatite B
- AAVAC Association d’Aide aux victimes d’accidents corporels (rubrique Hépatite B)
Deux autres livres sur ce scandale médical et financier

Sylvie Simon - Marc Vercoutère (Marco Pietteur Resurgence - 2001)
Sylvie Simon, journaliste et écrivain, a déjà publié plusieurs ouvrages sur des scandales (sang contaminé, vaches folles, amiante, hormones de croissance etc.) générés par la corruption de certains milieux et d'experts dits scientifiques. Marc Vercoutère est médecin homéopathe.
Dans le monde entier, avec la connivence de l'OMS et de divers gouvernements, les fabricants du vaccin anti-hépatite B (OGM), ont orchestré des campagnes publicitaires éhontées, basées sur la manipulation de la vérité scientifique au profit du seul intérêt financier.
Le succès de ces opérations a abouti à un drame effroyable pour les dizaines de milliers de victimes à travers le monde, dont certaines sont décédées, alors qu'elles avaient bien peu ou même aucun risque de contracter la maladie.
Preuves à l'appui, les auteurs dénoncent cette manipulation, à la fois financière et scientifique. Ils ont enquêté dans de nombreux pays, particulièrement en France, Italie, Etats-Unis et Grande-Bretagne.
La santé publique en otage : les scandales du vaccin hépatite B
par Eric Giacometti (Broché - 3 janvier 2001)
Journaliste au Parisien, Eric Giacometti enquête depuis 1994 sur la vaccination contre l'hépatite B. Pour bien comprendre l'ampleur du phénomène, il faut en raconter l'histoire. En 1994 souffle un véritable vent de folie au sujet de l'hépatite B. On s'alarme, on avertit l'opinion publique. Devant les micros et les caméras, Philippe Douste-Blazy, alors secrétaire d'État à la santé annonce que "plus de 100 000 nouvelles contaminations surviennent chaque année dans le pays". Dans l'esprit des gens, la confusion naît. Les institutions médicales renforcent le phénomène avec ce slogan décapant "Hépatite B/Sida. Même combat". Deux années plus tard, à l'heure des comptes, on recense près de 25 millions de Français qui ont été traités par le miraculeux vaccin contre l'hépatite B. Un vaccin au sujet duquel les éminents spécialistes de la médecine déclarent sur les plaquettes publicitaires des laboratoires et à longueur de vaccinations que "les effets indésirables sont anodins et inexistants". Seulement, dans le concert de louanges, on commence à entendre quelques voix discordantes et des fausses notes qui heurtent l'oreille.
On découvre que certaines associations à but non lucratif sont en réalité liées à des sociétés commerciales. On s'aperçoit que des laboratoires pharmaceutiques se sont enrichis de façon considérable, "de façon honteuse", n'hésitent pas à déclarer certains. Mais le plus étonnant n'est pas là. On sait, à partir de 1998, que les chiffres annoncés par les pouvoirs publics étaient faux. Loin des 100 000 nouveaux contaminés par an, on dénombre à peine 8 000 cas sur le territoire. Plus grave, le vaccin, qu'on disait inoffensif , a généré chez des milliers de patients des pathologies graves. Eric Giacometti plonge en eaux troubles dans l'affaire de l'hépatite B. Son enquête très serrée et documentée réfléchit sur les intérêts industriels et politiques qui sont en passe de commander l'éthique médicale. Un véritable travail d'investigation et de réflexion. --Denis Gombert
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